Ça débute comme un joli carnet de croquis d'étudiant en art qui se serait promené à Nice. On trouve ça joli mais on se demande où ça nous mène.
Et puis entre en scène Mélissa et Candice, et là tout commence.
Elles parlent cash, parfois même trash, elles ont pas le temps pour les bougies au patchouli, elles vivent de débrouille et de l'amour qu'elles se portent. Sylvain Bordesoules avec ses feutres à l'alcool nous fait entrer dans leurs vies et franchement, on s'attache tellement à elles que, malgré les galères, on resterait bien avec elles, sur un petit balcon ou au bord de la plage.
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